Les discussions sur la Constitution en Turquie et au Kurdistan du Nord
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Une des demandes fondamentales de la classe ouvrière et des travailleurs en Turquie et au Kurdistan du Nord est l'annulation de la constitution actuelle qui est un produit du coup d'état de 1980, la liquidation du Conseil de Sécurité Nationale (MGK) fasciste et la conquête des libertés politiques.
La Constitution est la loi principale de l'Etat qu'organise la vie sociale et administrative d'un pays qui détermine et assure quelle est la classe que possède le pouvoir politique et comment celui-ci l'utilise.
Les constitutions de 1921 et de 1924, pendant la période de la fondation, contenaient les principes de « l'unité des pouvoirs», qu'uni le pouvoir législatif, exécutif et judiciaire dans un point central et même n'ont pas eu besoin de se cacher sous la démocratie bourgeoise, mais ils déclareront la dictature ouvertement. D'un autre coté, les constitutions de 1961 et 1982 contenaient le principe de « séparation des pouvoirs », ont été préparées par les Juntes après les coups militaires et à travers celles-ci, les Juntes ont assumé la direction du régime et ont assuré leur propre présence au pouvoir. La constitution de 1982, qu'a été faite après le coup d'état militaire fasciste du 12 septembre 1980, a consolidé le caractère militaire du pouvoir politique et, à travers du MGK ‘Conseil de la Sécurité Nationale) formé par elle, a eu comme résultat que l'armée reste au pouvoir. Avec l'article 15 que contenait la sentence « sous les conditions de guerre, de la mobilisation des troupes, de l'état de siège ou des situations extraordinaires, l'usage des droits et des libertés fondamentales peuvent être limitées ou totalement annulées selon la situation, sans violer les obligations basées dans les lois internationales, et dans ce but, des mesures contraires aux garanties définies par la Constitution peuvent être prises », et ainsi, s'offrent à eux-mêmes une armature d'impunité.
EN Turquie et au Kurdistan du Nord, l'agenda de la dictature fasciste est occupé récemment par les discussions sur la « Constitution Civile ». Le gouvernement de l'AKP (Parti de la Justice et du Développement) avait pris l'avant-projet de la constitution dans son agenda avant les élections du 22 juillet et l'a fait préparer dans un laps de temps court, avec la confiance d'avoir gagné les élections du 22 juillet. L'avant-projet de la constitution consiste en 138 articles. Avant de présenter l'avant-projet à l'opinion publique en sa totalité, le mettent à l'agenda de la discussion peu à peu. Les diverses ailes de la bourgeoisie sont maintenant dans une lutte sans pitié l'un contre l'autre pour obtenir que la nouvelle Constitution aie un caractère que serve à leurs propres intérêts.
Dans le conflit des camarillas entre l'aile du gouvernement de l'AKP et l'aile de l'armée -le CHP- le MHP du régime, lequel a éclaté dans la première moitié de cette année autour des élections présidentielles, le gouvernement de l'AKP a élu Abdullah Gül, sa seconde personne comme président, avec le courage basé dans son triomphe électorale du 22 juillet et la défaite de l'aile de l'armée. Avec le passage de « la Constitution Civile » qui a suivi, le gouvernement de l'AKP tente de limiter le domaine de mobilité de l'armée encore un peu, la faisant reculer des ses positions, et ainsi, réduire le caractère militaire du régime. Avec ce pas, l'AKP ne veut pas seulement être au gouvernement, mais aussi veut monter au pouvoir politique. Les élections présidentielles et les pas de « la constitution civile » sont au même temps les pas de l'AKP pour monter au pouvoir politique.
La TUSIAD (Association des Industriels et Entrepreneurs de Turquie - celle-ci est l'organisation fondamentale de la grande bourgeoisie- avait soutenu la majorité des pas de l'AKP jusqu'alors, car ces pas correspondaient à son propre programme de changement.
Divers secteur de la bourgeoisie, surtout la TUSIAD a toujours exigé une « Constitution Civile » au lieu de l'actuelle Constitution, que défend le caractère militaire du régime. Une « Constitution Civile » que soie adaptée à la nouvelle situation de la corrélation des forces internes, qu'augmente le rôle du parlement bourgeois et que limite le domaine du pouvoir de l'armée. L'AKP tente d'amplifier don domaine de mobilité, ayant aussi le soutient de ceux qui demandent ceci. Cependant, le fait que ces groupes ont aussi critiqué la Constitution qu'il avait préparé, montre que l'AKP n'a pas le travail facile.
Le secteur de l'armée -le CHP- le MHP, qui pourraient être définis comme l'aile du statu quo de la dictature fasciste, participent dans les discussions sur la Constitution sur la base de la question du « foulard islamique ». Il semblerait que le YOK (Conseil de l'Education Supérieure) a assumé le rôle d'être l'acteur principal dans cette discussion. Menant les activités contre la nouvelle Constitution fasciste sur la base de la question du foulard islamique, le YOK, qui est un produit de la constitution fasciste de 1982, accompli ses devoirs devant l'armée, ainsi comme essaye de défendre sa propre position. Quelques secteurs de la bourgeoisie, avec l'aide des quelques académiciens et des médias, essayent de répandre la peur de que la nouvelle Constitution aura un contenu islamique, argumentant que « nous rassemblerons à la Malaisie » ou en mentionnant la « pression de la rue ». Cependant, l'armée, l'opposant principal de la « Constitution Civile », maintient le silence pour le moment. Il semblerait qu'elle a tiré des leçons des élections du 22 juillet, car il est évident qu'elle est occupée à préparer les conditions d'une intervention, au lieu d'intervenir dans les discussions directement. L'armée planifie d'arriver à une étape où l'appelleraient comme libératrice. Pour cette raison, appellerait un jour favorable les organisations de « la société civile » que suit sa ligne dans les rues.
La participation des cercles libéraux bourgeois de « gauche » dans les discussions sur la Constitution avec des mots tels que « civil, démocratie, en faveur du peuple et libératrice », a pour objectif de convertir l'opposition sociale en une force remplaçante du système bourgeois. Car chaque Constitution est ne loi fondamentale que défend le système actuel, la Constitution pour l'approbation de laquelle le AKP cherche les opportunités d'une réconciliation, aura aussi un caractère qui défende le système bourgeois turc et son caractère fasciste. La Constitution en discussion actuellement n'aura pas un contenu que puisse garantir les droits et les libertés de la classe ouvrière et des travailleurs, mais elle est vouée à garantir les droits de la bourgeoisie.
Une des demandes fondamentales de la classe ouvrière et des travailleurs en Turquie et au Kurdistan du Nord, est l'annulation de la constitution actuelle, laquelle et un produit d coup de 1980, la liquidation du Conseil de Sécurité Nationale (MGK) fasciste et l'obtention des libertés politiques. Ainsi comme l'avant-garde de la classe ouvrière, les communistes participent dans cette lutte en première ligne et défendent cette revendication dans la perspective du socialisme. Devant les discussions sur la « Constitution Civile » que ne signifient rien pour la classe ouvrière et les travailleurs, mais le conflit est « Dans laquelle des camarillas bourgeoises dominera la dictature bourgeoise ? », les communistes essayent d'augmenter le feu de la lutte pour la révolution à travers de laquelle la dictature fasciste sera renversée, et la dictature démocratique de la classe ouvrière et des travailleurs sera établie.

 

 

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Une des demandes fondamentales de la classe ouvrière et des travailleurs en Turquie et au Kurdistan du Nord est l'annulation de la constitution actuelle qui est un produit du coup d'état de 1980, la liquidation du Conseil de Sécurité Nationale (MGK) fasciste et la conquête des libertés politiques.
La Constitution est la loi principale de l'Etat qu'organise la vie sociale et administrative d'un pays qui détermine et assure quelle est la classe que possède le pouvoir politique et comment celui-ci l'utilise.
Les constitutions de 1921 et de 1924, pendant la période de la fondation, contenaient les principes de « l'unité des pouvoirs», qu'uni le pouvoir législatif, exécutif et judiciaire dans un point central et même n'ont pas eu besoin de se cacher sous la démocratie bourgeoise, mais ils déclareront la dictature ouvertement. D'un autre coté, les constitutions de 1961 et 1982 contenaient le principe de « séparation des pouvoirs », ont été préparées par les Juntes après les coups militaires et à travers celles-ci, les Juntes ont assumé la direction du régime et ont assuré leur propre présence au pouvoir. La constitution de 1982, qu'a été faite après le coup d'état militaire fasciste du 12 septembre 1980, a consolidé le caractère militaire du pouvoir politique et, à travers du MGK ‘Conseil de la Sécurité Nationale) formé par elle, a eu comme résultat que l'armée reste au pouvoir. Avec l'article 15 que contenait la sentence « sous les conditions de guerre, de la mobilisation des troupes, de l'état de siège ou des situations extraordinaires, l'usage des droits et des libertés fondamentales peuvent être limitées ou totalement annulées selon la situation, sans violer les obligations basées dans les lois internationales, et dans ce but, des mesures contraires aux garanties définies par la Constitution peuvent être prises », et ainsi, s'offrent à eux-mêmes une armature d'impunité.
EN Turquie et au Kurdistan du Nord, l'agenda de la dictature fasciste est occupé récemment par les discussions sur la « Constitution Civile ». Le gouvernement de l'AKP (Parti de la Justice et du Développement) avait pris l'avant-projet de la constitution dans son agenda avant les élections du 22 juillet et l'a fait préparer dans un laps de temps court, avec la confiance d'avoir gagné les élections du 22 juillet. L'avant-projet de la constitution consiste en 138 articles. Avant de présenter l'avant-projet à l'opinion publique en sa totalité, le mettent à l'agenda de la discussion peu à peu. Les diverses ailes de la bourgeoisie sont maintenant dans une lutte sans pitié l'un contre l'autre pour obtenir que la nouvelle Constitution aie un caractère que serve à leurs propres intérêts.
Dans le conflit des camarillas entre l'aile du gouvernement de l'AKP et l'aile de l'armée -le CHP- le MHP du régime, lequel a éclaté dans la première moitié de cette année autour des élections présidentielles, le gouvernement de l'AKP a élu Abdullah Gül, sa seconde personne comme président, avec le courage basé dans son triomphe électorale du 22 juillet et la défaite de l'aile de l'armée. Avec le passage de « la Constitution Civile » qui a suivi, le gouvernement de l'AKP tente de limiter le domaine de mobilité de l'armée encore un peu, la faisant reculer des ses positions, et ainsi, réduire le caractère militaire du régime. Avec ce pas, l'AKP ne veut pas seulement être au gouvernement, mais aussi veut monter au pouvoir politique. Les élections présidentielles et les pas de « la constitution civile » sont au même temps les pas de l'AKP pour monter au pouvoir politique.
La TUSIAD (Association des Industriels et Entrepreneurs de Turquie - celle-ci est l'organisation fondamentale de la grande bourgeoisie- avait soutenu la majorité des pas de l'AKP jusqu'alors, car ces pas correspondaient à son propre programme de changement.
Divers secteur de la bourgeoisie, surtout la TUSIAD a toujours exigé une « Constitution Civile » au lieu de l'actuelle Constitution, que défend le caractère militaire du régime. Une « Constitution Civile » que soie adaptée à la nouvelle situation de la corrélation des forces internes, qu'augmente le rôle du parlement bourgeois et que limite le domaine du pouvoir de l'armée. L'AKP tente d'amplifier don domaine de mobilité, ayant aussi le soutient de ceux qui demandent ceci. Cependant, le fait que ces groupes ont aussi critiqué la Constitution qu'il avait préparé, montre que l'AKP n'a pas le travail facile.
Le secteur de l'armée -le CHP- le MHP, qui pourraient être définis comme l'aile du statu quo de la dictature fasciste, participent dans les discussions sur la Constitution sur la base de la question du « foulard islamique ». Il semblerait que le YOK (Conseil de l'Education Supérieure) a assumé le rôle d'être l'acteur principal dans cette discussion. Menant les activités contre la nouvelle Constitution fasciste sur la base de la question du foulard islamique, le YOK, qui est un produit de la constitution fasciste de 1982, accompli ses devoirs devant l'armée, ainsi comme essaye de défendre sa propre position. Quelques secteurs de la bourgeoisie, avec l'aide des quelques académiciens et des médias, essayent de répandre la peur de que la nouvelle Constitution aura un contenu islamique, argumentant que « nous rassemblerons à la Malaisie » ou en mentionnant la « pression de la rue ». Cependant, l'armée, l'opposant principal de la « Constitution Civile », maintient le silence pour le moment. Il semblerait qu'elle a tiré des leçons des élections du 22 juillet, car il est évident qu'elle est occupée à préparer les conditions d'une intervention, au lieu d'intervenir dans les discussions directement. L'armée planifie d'arriver à une étape où l'appelleraient comme libératrice. Pour cette raison, appellerait un jour favorable les organisations de « la société civile » que suit sa ligne dans les rues.
La participation des cercles libéraux bourgeois de « gauche » dans les discussions sur la Constitution avec des mots tels que « civil, démocratie, en faveur du peuple et libératrice », a pour objectif de convertir l'opposition sociale en une force remplaçante du système bourgeois. Car chaque Constitution est ne loi fondamentale que défend le système actuel, la Constitution pour l'approbation de laquelle le AKP cherche les opportunités d'une réconciliation, aura aussi un caractère qui défende le système bourgeois turc et son caractère fasciste. La Constitution en discussion actuellement n'aura pas un contenu que puisse garantir les droits et les libertés de la classe ouvrière et des travailleurs, mais elle est vouée à garantir les droits de la bourgeoisie.
Une des demandes fondamentales de la classe ouvrière et des travailleurs en Turquie et au Kurdistan du Nord, est l'annulation de la constitution actuelle, laquelle et un produit d coup de 1980, la liquidation du Conseil de Sécurité Nationale (MGK) fasciste et l'obtention des libertés politiques. Ainsi comme l'avant-garde de la classe ouvrière, les communistes participent dans cette lutte en première ligne et défendent cette revendication dans la perspective du socialisme. Devant les discussions sur la « Constitution Civile » que ne signifient rien pour la classe ouvrière et les travailleurs, mais le conflit est « Dans laquelle des camarillas bourgeoises dominera la dictature bourgeoise ? », les communistes essayent d'augmenter le feu de la lutte pour la révolution à travers de laquelle la dictature fasciste sera renversée, et la dictature démocratique de la classe ouvrière et des travailleurs sera établie.