Le gouvernement, les intellectuels et la question kurde
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Tandis que le Général fasciste I.Basbug a annoncé il y a peu le nouveau concept d'attaque contre le peuple kurde et le mouvement révolutionnaire, le Premier Ministre turc, T. Erdogan, a admis que il existe bien la « question kurd». Il s'est réuni avec les intellectuels qui sollicitent du PKK de « terminer immédiatement et sans condition la lutte armée», et ainsi reste dans l'opinion à l'ordre du jour.

T. Erdogan a préféré se retrouver avec les intellectuels turcs, lesquels se laissent mener par l'Etat et sont sous l'influence social chauviniste avec leurs déclarations et leur attitude politique. Mais il n'a pas invité les intellectuels kurdes libéraux ou réformistes, lesquels ont particulièrement soutenu le volant. Mais il a souhaité que participe aussi à la réunion « la gauchiste» et romancière Adalet Agaoglu, laquelle a accusé la IHD (Association des Droits de l'Homme) de séparatisme et d'offrir son soutient au PKK et s'est retirée du IHD, et lui l'a honorée. Ceci a été incompressible. Car il était nécessaire de mentionner la question kurde dans son discours à Diyarbakir et de répéter la consigne politique officielle d'un pays. Un Etat et d'une nation».

La déclaration de Erdogan a appelé l'attention. Car le gouvernement du AKP et T. Erdogan considèrent la question kurde comme un problème « fictif» « si tu ne pense pas à la question kurde, alors elle n'existe pas». Il faut expliquer ce « changement» qui est survenu il y a quelques mois.

La réunion avec les intellectuels turcs qui avaient publié un « volant de la paix» avant leur voyage à Diyarbakir, la capitale du Kurdistan, le fait de mentionner « la question kurde et le fait qu'il a dit « ont été commis quelques erreurs dans le passé» dans son discours à Diyarbakir, est un autre point ouvert lié au concept d'attaque récemment publié.

Ne signifient pas ces déclarations de que s'il existe une contradiction entre le gouvernement du AKP et la Chambre des Généraux ?

Pourrait être une manipulation pour les négociations avec l'UE qui commenceront le 3 octobre ?

A été la politique des EEUU concernant le Moyen Orient et à la question kurde, ce qui l'a obligé à faire une déclaration ?

De plus, il y a eu des dizaines des fois des pareilles déclarations dans l'histoire de la lutte de libération de la nation kurde. Dans l'année 1921, I. Inönu a dit dans l'Accord de Lausanne « nous sommes des représentants du peuple kurde et turc». En 1993, T. Özal a déclaré que « nous pouvons encore discuter jusqu'à la fédération avec les kurdes» et S. Demirel a dit « nous reconnaissons la réalité kurde». Après a présenté à la Première Ministre, Tansu Ciller le « Modèle Basque» comme la solution et M. Yilmaz a dit « le chemin à l'UE passe par Diyarbakir».

Dans ces déclarations il peut possible de trouver des choses en commun : ces déclarations ne signifient pas que dans quelque temps sera détruite et vaincue la politique de liquidation et de négation de l'Etat turc bourgeois. Comme résultat de la volonté et de la pression exigée par le mouvement national kurde, dans quelques périodes, ces déclarations contiennent des messages que servent à distraire et réveiller des illusions. A cause de ceci, les kurdes ne sont pas reconnus comme une nation mais comme des individus. Les déclarations restent toujours seulement comme en paroles et n'abordent pas les initiatives, pas et pratiques qui répondent aux revendications nationales et démocratiques des kurdes.

La déclaration du Premier Ministre T.Erdogan a réussi à réveiller à nouveau des expectatives entre le PKK et certains cercles libéraux. Le PKK a annoncé qu'il considère la déclaration avec attention et que la considère positivement. Mais il a ajouté qu'il espère des pas pratiques. Comme signe de bonne volonté, a déclaré qu'entre le 20 ao»t et le 20 septembre passera « de la défense active à la défense passive».

Bon, Quels sont les développements qui ont mené T. Erdogan à faire cette déclaration ?

En juin 2004, le PKK a fini l'armistice qu'avait tenu unilatéralement pendant 5 ans. A dit que l'Etat a distrait le mouvement national kurde avec la politique de « ni guerre ni paix» et l'a laissé se décomposer pendant ce temps. Pour cette raison il dit qu'en marge des sollicitations démocratiques, le gouvernement doit réaliser quelques pas. Avec leurs actions, les guérilleros du PKK ont causé des dégâts à des niveaux inespérés aux Forces Armées turques.

En Turquie, la vague de chauvinisme et nationalisme provoqués est arrivée avec les lynchages a des dimensions dangereuses. Sont apparues des forts signaux des boucheries à venir entre turcs et kurdes. Cette situation pouvait inévitablement accélérer le processus de séparation du Kurdistan de Turquie. Malgré toutes les tentatives et les manipulations tactiques du régime colonialiste, les EEUU ne se dirigent pas contre les forces armées du PKK. A accéléré le processus de « devenir Etat» des kurdes en Irak. (...) Des soldats des Etats-Unis ont mis des sacs sur les têtes des soldats turcs. Se sont soulevés les kurdes dans quelques parties du Kurdistan d'Iran et de la Syrie. Dans peu de mots, les conditions politiques, les proportions des forces et dynamiques de développement de la Turquie, en Irak et au Moyen Orient a résulté de qu'il a été mis en marche à nouveau le régime fasciste, au moins l'organisation du grand capital, TÜSIAD et le AKP au marge des différentes orientations et recherches. Le souhait du AKP de gagner à nouveau l'initiative perdue en ce qui concerne de gouverner contre les généraux, représente autre facteur important.

Dans cette situation, 150 intellectuels turcs ont publié une « déclaration de pai». Ils ont fait l'appel « nos gens ne doivent plus mourir, vivons une vie de paix et justice ! Nous souhaitons que le PKK termine la lutte armée immédiatement et sans condition. Nous demandons que le gouvernement (') turc, passe les lois nécessaires». Cependant, ils n'ont pas demandé à l'Etat fasciste turc, lequel réalisent des nouveaux exemples d'une guerre sale et obscure avec des massacres et cruautés, de mettre fin à leurs attaques et opérations.

Quelques intellectuels kurdes ont annoncé qu'ils soutiennent la déclaration des intellectuels turcs en disant»nous espérons du gouvernement qu'il mette fin immédiatement aux opérations et à l'ambiance des conflits, pour commencer avec le processus de paix».

Dans ce moment, les intellectuels révolutionnaires et socialistes, lesquels ne peuvent accorder ces déclarations avec une attitude intellectuel d'honneur, ont publié une déclaration « contre le militarisme et le chauvinisme» : « Ne pas concorder ni avec la conscience d'un intellectuel ni avec la réalité scientifique réelle de chercher la responsabilité de ces actes violents, dont la source est l'Etat lui-même, dans un autre lieu, (') Nous annonçons que nous n'allons pas fuir de la responsabilité que la vie et la société impose à une personne intellectuelle.

Nous appelons le mouvement de la classe ouvrière, toutes les organisations de masses démocratiques, aux travailleurs et à tous les opprimés et la société d'agir comme un seul front, de lutter unis». Ainsi ils ont fait une déclaration qui concorde avec sa responsabilité historique et politique.

Dans le contexte de ces événements, le PKK souhaitait annoncer à Bruxelles leur décision d'un mois d'armistice. Cette décision suppose passer pendant un mois de la défense active à la défense passive.

Le gouvernement du AKP a demandé au gouvernement belge d'arrêter Z. Aydar, le président du Kongra Gel (PKK), lequel allait prononcer une déclaration de presse contre la déclaration de T. Erdogan et demander qu'elle soit interdite la déclaration de presse. La déclaration de presse. a été interdite. Dans les mêmes jours le frère de Ocalan a été empêché de le visiter en prétextant des causes inventées. Depuis la réunion du MGK (Conseil de la Sécurité Nationale) du 23 ao»t, les prohibitions et attaques ont pris des nouvelles dimensions. Il a été prohibé aux leaders du DEHAP de voyager à l'étranger et ont ouvert des procès criminels contre eux, en demandant des sentences jusqu'à 10 ans de prison, seulement parce qu'ils ont dit « cher Ocala». Le maire de Diyarbakir, Osman Baydemir, du DEHAP a été poursuivi devant les Tribunaux, car il avait mis à disposition un véhicule de la municipalité pour le transport du cadavre d'un guérillero.

Le PCML est de l'opinion que les déclarations de T. Erdogan ne peuvent être considérées séparément de sa politique d'anéantissement et de négation contre la nation kurde. Cette déclaration est une partie récente de la vague d'attaques contre le peuple kurde et le mouvement révolutionnaire, surgi de la nécessité d'attirer les intellectuels turcs et les cercles libéraux de la population.

La solution de la question kurde est une solution révolutionnaire et du peuple. La situation politique dans laquelle nous vivons offre des occasions, des possibilités et dynamiques historiques et politiques d'importance au peuple kurde.

Le PCML répète une fois encore son appel à augmenter la lutte unie du peuple turc et du peuple kurde contre les tactiques sales et trompeuses, contre la vague d'attaques du régime colonialiste.

Le PCML lutte pour une unité libre, à base d'égalité et de volonté fédérative du peuple kurde et turc. Pour qu'elle puisse être réalisée cette demande basique, le PCML mène ses actions indépendantes avec des revendications concrètes, comme par exemple depuis aujourd'hui une paix démocratique et d'honneur, représentation politique des kurdes et enseignement en langue maternelle (kurde) et au même temps appelle l'attention sur le besoin de mener une lutte unie avec le mouvement national avec d'autres forces progressistes et révolutionnaires.

 

 

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T. Erdogan a préféré se retrouver avec les intellectuels turcs, lesquels se laissent mener par l'Etat et sont sous l'influence social chauviniste avec leurs déclarations et leur attitude politique. Mais il n'a pas invité les intellectuels kurdes libéraux ou réformistes, lesquels ont particulièrement soutenu le volant. Mais il a souhaité que participe aussi à la réunion « la gauchiste» et romancière Adalet Agaoglu, laquelle a accusé la IHD (Association des Droits de l'Homme) de séparatisme et d'offrir son soutient au PKK et s'est retirée du IHD, et lui l'a honorée. Ceci a été incompressible. Car il était nécessaire de mentionner la question kurde dans son discours à Diyarbakir et de répéter la consigne politique officielle d'un pays. Un Etat et d'une nation».

La déclaration de Erdogan a appelé l'attention. Car le gouvernement du AKP et T. Erdogan considèrent la question kurde comme un problème « fictif» « si tu ne pense pas à la question kurde, alors elle n'existe pas». Il faut expliquer ce « changement» qui est survenu il y a quelques mois.

La réunion avec les intellectuels turcs qui avaient publié un « volant de la paix» avant leur voyage à Diyarbakir, la capitale du Kurdistan, le fait de mentionner « la question kurde et le fait qu'il a dit « ont été commis quelques erreurs dans le passé» dans son discours à Diyarbakir, est un autre point ouvert lié au concept d'attaque récemment publié.

Ne signifient pas ces déclarations de que s'il existe une contradiction entre le gouvernement du AKP et la Chambre des Généraux ?

Pourrait être une manipulation pour les négociations avec l'UE qui commenceront le 3 octobre ?

A été la politique des EEUU concernant le Moyen Orient et à la question kurde, ce qui l'a obligé à faire une déclaration ?

De plus, il y a eu des dizaines des fois des pareilles déclarations dans l'histoire de la lutte de libération de la nation kurde. Dans l'année 1921, I. Inönu a dit dans l'Accord de Lausanne « nous sommes des représentants du peuple kurde et turc». En 1993, T. Özal a déclaré que « nous pouvons encore discuter jusqu'à la fédération avec les kurdes» et S. Demirel a dit « nous reconnaissons la réalité kurde». Après a présenté à la Première Ministre, Tansu Ciller le « Modèle Basque» comme la solution et M. Yilmaz a dit « le chemin à l'UE passe par Diyarbakir».

Dans ces déclarations il peut possible de trouver des choses en commun : ces déclarations ne signifient pas que dans quelque temps sera détruite et vaincue la politique de liquidation et de négation de l'Etat turc bourgeois. Comme résultat de la volonté et de la pression exigée par le mouvement national kurde, dans quelques périodes, ces déclarations contiennent des messages que servent à distraire et réveiller des illusions. A cause de ceci, les kurdes ne sont pas reconnus comme une nation mais comme des individus. Les déclarations restent toujours seulement comme en paroles et n'abordent pas les initiatives, pas et pratiques qui répondent aux revendications nationales et démocratiques des kurdes.

La déclaration du Premier Ministre T.Erdogan a réussi à réveiller à nouveau des expectatives entre le PKK et certains cercles libéraux. Le PKK a annoncé qu'il considère la déclaration avec attention et que la considère positivement. Mais il a ajouté qu'il espère des pas pratiques. Comme signe de bonne volonté, a déclaré qu'entre le 20 ao»t et le 20 septembre passera « de la défense active à la défense passive».

Bon, Quels sont les développements qui ont mené T. Erdogan à faire cette déclaration ?

En juin 2004, le PKK a fini l'armistice qu'avait tenu unilatéralement pendant 5 ans. A dit que l'Etat a distrait le mouvement national kurde avec la politique de « ni guerre ni paix» et l'a laissé se décomposer pendant ce temps. Pour cette raison il dit qu'en marge des sollicitations démocratiques, le gouvernement doit réaliser quelques pas. Avec leurs actions, les guérilleros du PKK ont causé des dégâts à des niveaux inespérés aux Forces Armées turques.

En Turquie, la vague de chauvinisme et nationalisme provoqués est arrivée avec les lynchages a des dimensions dangereuses. Sont apparues des forts signaux des boucheries à venir entre turcs et kurdes. Cette situation pouvait inévitablement accélérer le processus de séparation du Kurdistan de Turquie. Malgré toutes les tentatives et les manipulations tactiques du régime colonialiste, les EEUU ne se dirigent pas contre les forces armées du PKK. A accéléré le processus de « devenir Etat» des kurdes en Irak. (...) Des soldats des Etats-Unis ont mis des sacs sur les têtes des soldats turcs. Se sont soulevés les kurdes dans quelques parties du Kurdistan d'Iran et de la Syrie. Dans peu de mots, les conditions politiques, les proportions des forces et dynamiques de développement de la Turquie, en Irak et au Moyen Orient a résulté de qu'il a été mis en marche à nouveau le régime fasciste, au moins l'organisation du grand capital, TÜSIAD et le AKP au marge des différentes orientations et recherches. Le souhait du AKP de gagner à nouveau l'initiative perdue en ce qui concerne de gouverner contre les généraux, représente autre facteur important.

Dans cette situation, 150 intellectuels turcs ont publié une « déclaration de pai». Ils ont fait l'appel « nos gens ne doivent plus mourir, vivons une vie de paix et justice ! Nous souhaitons que le PKK termine la lutte armée immédiatement et sans condition. Nous demandons que le gouvernement (') turc, passe les lois nécessaires». Cependant, ils n'ont pas demandé à l'Etat fasciste turc, lequel réalisent des nouveaux exemples d'une guerre sale et obscure avec des massacres et cruautés, de mettre fin à leurs attaques et opérations.

Quelques intellectuels kurdes ont annoncé qu'ils soutiennent la déclaration des intellectuels turcs en disant»nous espérons du gouvernement qu'il mette fin immédiatement aux opérations et à l'ambiance des conflits, pour commencer avec le processus de paix».

Dans ce moment, les intellectuels révolutionnaires et socialistes, lesquels ne peuvent accorder ces déclarations avec une attitude intellectuel d'honneur, ont publié une déclaration « contre le militarisme et le chauvinisme» : « Ne pas concorder ni avec la conscience d'un intellectuel ni avec la réalité scientifique réelle de chercher la responsabilité de ces actes violents, dont la source est l'Etat lui-même, dans un autre lieu, (') Nous annonçons que nous n'allons pas fuir de la responsabilité que la vie et la société impose à une personne intellectuelle.

Nous appelons le mouvement de la classe ouvrière, toutes les organisations de masses démocratiques, aux travailleurs et à tous les opprimés et la société d'agir comme un seul front, de lutter unis». Ainsi ils ont fait une déclaration qui concorde avec sa responsabilité historique et politique.

Dans le contexte de ces événements, le PKK souhaitait annoncer à Bruxelles leur décision d'un mois d'armistice. Cette décision suppose passer pendant un mois de la défense active à la défense passive.

Le gouvernement du AKP a demandé au gouvernement belge d'arrêter Z. Aydar, le président du Kongra Gel (PKK), lequel allait prononcer une déclaration de presse contre la déclaration de T. Erdogan et demander qu'elle soit interdite la déclaration de presse. La déclaration de presse. a été interdite. Dans les mêmes jours le frère de Ocalan a été empêché de le visiter en prétextant des causes inventées. Depuis la réunion du MGK (Conseil de la Sécurité Nationale) du 23 ao»t, les prohibitions et attaques ont pris des nouvelles dimensions. Il a été prohibé aux leaders du DEHAP de voyager à l'étranger et ont ouvert des procès criminels contre eux, en demandant des sentences jusqu'à 10 ans de prison, seulement parce qu'ils ont dit « cher Ocala». Le maire de Diyarbakir, Osman Baydemir, du DEHAP a été poursuivi devant les Tribunaux, car il avait mis à disposition un véhicule de la municipalité pour le transport du cadavre d'un guérillero.

Le PCML est de l'opinion que les déclarations de T. Erdogan ne peuvent être considérées séparément de sa politique d'anéantissement et de négation contre la nation kurde. Cette déclaration est une partie récente de la vague d'attaques contre le peuple kurde et le mouvement révolutionnaire, surgi de la nécessité d'attirer les intellectuels turcs et les cercles libéraux de la population.

La solution de la question kurde est une solution révolutionnaire et du peuple. La situation politique dans laquelle nous vivons offre des occasions, des possibilités et dynamiques historiques et politiques d'importance au peuple kurde.

Le PCML répète une fois encore son appel à augmenter la lutte unie du peuple turc et du peuple kurde contre les tactiques sales et trompeuses, contre la vague d'attaques du régime colonialiste.

Le PCML lutte pour une unité libre, à base d'égalité et de volonté fédérative du peuple kurde et turc. Pour qu'elle puisse être réalisée cette demande basique, le PCML mène ses actions indépendantes avec des revendications concrètes, comme par exemple depuis aujourd'hui une paix démocratique et d'honneur, représentation politique des kurdes et enseignement en langue maternelle (kurde) et au même temps appelle l'attention sur le besoin de mener une lutte unie avec le mouvement national avec d'autres forces progressistes et révolutionnaires.